mémoire
miroir de ton visage
ces yeux, ce sourire, un mirage !
mon ami, mon frère
parti dans d'autres sphères
galères de la vie
le rameur n'a plus envie
une nuit d'ivresse
trop grande fut la détresse
corde et tabouret
mais qu'as tu donc fait
là, au petit matin
plus de tourments et chagrins
des écrits tu laisses
envahie par la tristesse
je lis : grand merci
ne peux plus, trop de soucis
rage, désespoir
ton soutient fut sans espoir.
néant, grand vide
sans toi je prend mes rides